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Comment chier dans les bois – Kathleen Mayer

Couverture

« Pour une approche environnementale d’un art perdu … »

Kathleen Meyer, américaine, née à New York en 1942, est une auteure d’ouvrages sur la nature.

Diplômée de l’Université de San Francisco, elle milite depuis toujours pour la défense de l’environnement.

Elle a été fondatrice et rédactrice en chef du journal “Headwaters”, publié par l’association des Amis de la rivière.

Kathleen Meyer

Spécialiste de la mer, guide de montagne, adepte du canoë-kayak et du rafting, Kathleen Meyer a également traversé trois états des Montagnes Rocheuses, en chariot bâché tiré par un attelage de chevaux.

Depuis sa première édition en 1989, « Comment chier dans les bois », s’est vendu à 2,5 millions d’exemplaires et a été traduit dans 8 langues.

Le livre de Kathleen Meyer se situe parmi “les titres cultes” de la “mouvance outdoor” aux États-Unis.

En résumé

Kathleen Meyer traite avec efficacité et humour, un problème que le randonneur ou le coureur en montagne n’ose pas forcément aborder. Cependant avoir envie de faire ses besoins, lors d’une course, à un instant pas toujours propice et loin de tout sanitaire, est un fait bien réel.

Cela a dû arriver plus d’une fois, à celui ou celle, qui parcourt les longues étendues montagneuses ou forestières.

Dans cet ouvrage, notre « caca » y est disséqué. Les solutions environnementales, auxquelles certains pays comme les Etats-Unis attachent plus d’importance, y sont apportées.

« comment chier dans les bois » un guide plus qu’un livre.

Titre chapitre 11

Traduit de l’américain par Jean-Marc Porte

Titre original : “How to shit in the woods

Edition :

  • Teen Speed Press Californie
  • Edimontagne, 2001 pour la traduction française

Collection : 4 camp collection

Prix : 12 euros

L’avis de la rédac

« Comment chier dans les bois » est un ouvrage que tout trailer ou randonneur devrait posséder. En effet, souvent confrontés à ce genre de situation, le coureur en montagne cherche souvent un endroit adéquat pour faire ses besoins naturels. Ainsi, il serait de bonne augure, qu’on le fasse sans polluer la nature, ni même nuire aux autres concurrents, en laissant des traces dignes de ce nom.

En suivant l’ouvrage à la lettre, Kathleen Meyer nous donne toutes les informations nécessaires sur ce sujet, parfois délicat à aborder en société.

La prise de conscience, sur les problèmes liés à l’environnement, est bien réelle. Il existe de nos jours, certaines courses assez réputées, comme l’Utmb, qui dans un souci de protection environnementale fournissent des petits sacs à rapporter, prévus à cet effet.

Kathleen in the woods

À propos de Nicolas Trawicki

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